I think we live at a point of extreme darkness and extreme brightness. Extreme darkness, because we really do not know from which direction the light would come. extreme brightness, because we ought to have the courage to begin anew.
Michel Foucault in a dialogue with Baqir Parham.
Iranian Revolution, September 1978.

Soufis d'Afghanistan. Maître et Disciple


ovni archives


Arnaud Desjardins. 1973. France. vo French. s Spanish. 55’ 

http://www.amis-hauteville.fr/ 


Este documental realizado en 1973 es un documento sorprendente sobre la cultura tradicional del Islam en Afganistán antes de que el país conociera los desastres de las luchas ideológicas y la guerra civil. Para una sensibilidad musulmana, representa mucho más que eso. Se trata de un testimonio objetivo y respetuoso de los aspectos profundos y esenciales de la cultura espiritual del Islam recogido por un realizador occidental.

« Ces films réalisés en 1973, sont des documents inespérés sur ce que fut la culture traditionnelle de l'Islam en Afghanistan, avant que ce pays ne connaisse les désastres des luttes idéologiques et de la guerre civile. Mais ils représentent aussi, pour une sensibilité de Musulman, bien plus que cela. D'abord, un témoignage objectif et respectueux, fait par un réalisateur occidental, d'aspects profonds et essentiels de la culture spirituelle de l'Islam.Cette culture là, qui constitue la trame intérieure, l'âme vivante, des sociétés musulmanes traditionnelles, reste malgré son importance primordiale quasiment non connue et non perçue en Occident.Cela a été une extraordinaire marque de confiance que tous ces « Cheikhs » ont accordée à Arnaud Desjardins en l'autorisant à filmer les aspects de l'enseignement et de la vie intérieure de leurs confréries. La présence sur la pellicule de ces grands maîtres est, à elle seule, une chose profondément émouvante. Je crois qu'il s'agit là de documents uniques et exceptionnels, aussi bien pour les pays islamiques que pour l'Occident.Il me semble important et nécessaire par les temps qui courent, que ces films puissent connaître une très large diffusion.Un public occidental aurait à découvrir, au-delà des aspects aberrants des idéologies politico-religieuses de l'Islamisme récent, une réalité autrement plus profonde et plus authentique de la tradition séculaire de l'Islam.Un public musulman pourrait avoir beaucoup à apprendre, à travers un témoignage d'une qualité et d'une transparence extraordinaires, sur ses propres tradition et culture. Ils peuvent être, à mon avis, un élément essentiel permettant une bonne compréhension par de jeunes musulmans de leur tradition, au-delà des mirages de l'intégrisme. » Faouzi SkaliFaouzi Skali est anthropologue, écrivain et spécialiste du soufisme. Il est le directeur général des Rencontres et du Festival de Musiques sacrées du Monde qui se tient chaque année à Fès (Maroc).



This documentary produced in 1973 is a remarkable document on traditional Islamic culture in Afghanistan before the country met with the disasters of ideological struggles and civil war. To a Muslim sensibility, its importance goes much further. It is an objective and respectful testimony to the profound, essential aspects of the spiritual culture of Islam, captured by a Western filmmaker. http://www.films-arnaud-desjardins.com/ « Ces films réalisés en 1973, sont des documents inespérés sur ce que fut la culture traditionnelle de l'Islam en Afghanistan, avant que ce pays ne connaisse les désastres des luttes idéologiques et de la guerre civile. Mais ils représentent aussi, pour une sensibilité de Musulman, bien plus que cela. D'abord, un témoignage objectif et respectueux, fait par un réalisateur occidental, d'aspects profonds et essentiels de la culture spirituelle de l'Islam.Cette culture là, qui constitue la trame intérieure, l'âme vivante, des sociétés musulmanes traditionnelles, reste malgré son importance primordiale quasiment non connue et non perçue en Occident.Cela a été une extraordinaire marque de confiance que tous ces « Cheikhs » ont accordée à Arnaud Desjardins en l'autorisant à filmer les aspects de l'enseignement et de la vie intérieure de leurs confréries. La présence sur la pellicule de ces grands maîtres est, à elle seule, une chose profondément émouvante. Je crois qu'il s'agit là de documents uniques et exceptionnels, aussi bien pour les pays islamiques que pour l'Occident.Il me semble important et nécessaire par les temps qui courent, que ces films puissent connaître une très large diffusion.Un public occidental aurait à découvrir, au-delà des aspects aberrants des idéologies politico-religieuses de l'Islamisme récent, une réalité autrement plus profonde et plus authentique de la tradition séculaire de l'Islam.Un public musulman pourrait avoir beaucoup à apprendre, à travers un témoignage d'une qualité et d'une transparence extraordinaires, sur ses propres tradition et culture. Ils peuvent être, à mon avis, un élément essentiel permettant une bonne compréhension par de jeunes musulmans de leur tradition, au-delà des mirages de l'intégrisme. » Faouzi SkaliFaouzi Skali est anthropologue, écrivain et spécialiste du soufisme. Il est le directeur général des Rencontres et du Festival de Musiques sacrées du Monde qui se tient chaque année à Fès (Maroc). 

Aquest documental realitzat el 1973 és un document sorprenent sobre la cultura tradicional de l'islam a l'Afganistan abans que el país conegués els desastres de les lluites ideològiques i la guerra civil. Per a una sensibilitat musulmana, representa molt més que això. Es tracta d'un testimoni objectiu i respectuós dels aspectes profunds i essencials de la cultura espiritual de l'islam recollit per un realitzador occidental. http://www.films-arnaud-desjardins.com/ « Ces films réalisés en 1973, sont des documents inespérés sur ce que fut la culture traditionnelle de l'Islam en Afghanistan, avant que ce pays ne connaisse les désastres des luttes idéologiques et de la guerre civile. Mais ils représentent aussi, pour une sensibilité de Musulman, bien plus que cela. D'abord, un témoignage objectif et respectueux, fait par un réalisateur occidental, d'aspects profonds et essentiels de la culture spirituelle de l'Islam.Cette culture là, qui constitue la trame intérieure, l'âme vivante, des sociétés musulmanes traditionnelles, reste malgré son importance primordiale quasiment non connue et non perçue en Occident.Cela a été une extraordinaire marque de confiance que tous ces « Cheikhs » ont accordée à Arnaud Desjardins en l'autorisant à filmer les aspects de l'enseignement et de la vie intérieure de leurs confréries. La présence sur la pellicule de ces grands maîtres est, à elle seule, une chose profondément émouvante. Je crois qu'il s'agit là de documents uniques et exceptionnels, aussi bien pour les pays islamiques que pour l'Occident.Il me semble important et nécessaire par les temps qui courent, que ces films puissent connaître une très large diffusion.Un public occidental aurait à découvrir, au-delà des aspects aberrants des idéologies politico-religieuses de l'Islamisme récent, une réalité autrement plus profonde et plus authentique de la tradition séculaire de l'Islam.Un public musulman pourrait avoir beaucoup à apprendre, à travers un témoignage d'une qualité et d'une transparence extraordinaires, sur ses propres tradition et culture. Ils peuvent être, à mon avis, un élément essentiel permettant une bonne compréhension par de jeunes musulmans de leur tradition, au-delà des mirages de l'intégrisme. » Faouzi SkaliFaouzi Skali est anthropologue, écrivain et spécialiste du soufisme. Il est le directeur général des Rencontres et du Festival de Musiques sacrées du Monde qui se tient chaque année à Fès (Maroc).